Module hypnose et douleur chez la personne âgée

OBJECTIFS DE LA FORMATION

Comprendre

Comprendre et connaître le principe de l'hypnose et ses indications.

Connaître

Connaître les principes éthiques de l'hypnose et les caractéristiques des personnes pouvant prétendre ou non à la technique d'hypnoanalgésie.

Connaître

Connaître le mécanisme de la douleur avec ses causes et ses composantes.

Voici les cours

Perspective historique de l’hypnose :

  • Les débuts avec Mesmer.
  • Les bases de l’hypnose traditionnelle (apport de Charcot, Bernheim et Braid).
  • La vision actuelle de l’hypnose médicale : l’hypnose moderne chez Milton et Erickson et les apports de la programmation Neuro Linguistique chez Bandler.

Les idées préconçues vis-à-vis de l’hypnose :

  • Amalgame entre suggestion de spectacle et hypnose thérapeutique.
  • Méthode de « manipulation ».
  • État de sommeil ou de perte de contrôle de ses pensées et ses actes.

Qu’est-ce que l’hypnose ?

  • État naturel de la vie courante.
  • État provoqué par une personne à l’aide de techniques apprises.
  • Quelques définitions.

L’hypnose médicale ou thérapeutique :

  • État modifié de conscience différent de l’état de veille et de sommeil.
  • Une relation singulière avec le praticien.
  • Une approche validée scientifiquement.
  • Aspect éthique de l’utilisation de l’hypnose.

L’hypnoanalgésie : principe d’action sur la douleur :

  • Modifie la perception de l’intensité de la douleur (aiguës, chroniques ou provoquées).
  • Limite l’activité de certaines zones du cerveau activées lors de soins potentiellement douloureux.
  • Agit sur la dimension sensorielle et émotionnelle de la douleur.
  • Diminue les plaintes douloureuses.
  • Les modalités d’utilisation de l’hypoanalgésie :
  • Les séances d’hypnose directes et formelles.
  • L’hypnose conversationnelle indirecte et informelle.
  • Utilisation seule ou en association avec antalgiques et/ou anxiolytiques.

Comprendre la notion de douleur :

  • Sur le plan physiologique.
  • Sur le plan psychologique.

Le caractère multifactoriel de la douleur :

  • Les différentes causes possibles.
  • L’expérience objective de la douleur.
  • L’expérience subjective de la douleur.

Les différentes formes de douleurs :

  • Apport synthétique sur les douleurs par excès de nociception.
  • Apport synthétique sur les douleurs neurogènes.

Précision autour des douleurs psychogènes :

  • L’influence de l’état mental du patient/résident sur son vécu douloureux.
  • L’importance de prendre en compte la dimension psychogène dans la prise en charge de la douleur.

Les principales causes de douleurs du sujet âgé :

  • Les différentes pathologies notamment ostéo-articulaires.
  • Les syndromes d’immobilisation.
  • Les neuropathies.
  • Les douleurs psychogènes.

La particularité des douleurs induites chez les personnes âgées dépendantes :

  • Par les transferts.
  • Lors des soins de nursing.
  • Lors des soins médicaux/infirmiers (prises de sang, pansements…).
  • En lien avec un manque d’ergonomie de l’espace de vie.

S’approprier les techniques d’hypnose : le langage hypnotique :

  • L’inconscient/le conscient.
  • Emotions et sentiments.
  • Le contrôle/le lâcher prise.
  • L’état de transe.
  • Les croyances limitantes.

Les phases d’une séance d’hypnose :

  • La suggestion (directe et indirecte).
  • La synchronisation.
  • La description.
  • L’induction hypnotique.
  • L’ancrage.
  • Retour à l’état ordinaire de conscience.

Répercussion de l’hypnose sur la dimension relationnelle :

  • Amélioration de la relation soignant/soigné.
  • Amélioration de la qualité de prise en soins.
  • Plus grande autonomisation des patients/résidents.
  • Effet positif sur le praticien soignant.

Module sur les transmissions ciblées

OBJECTIFS DE LA FORMATION

Comprendre

Comprendre le caractère essentiel des transmissions ciblées et identifier les transmissions ciblées comme étant un moyen d'éviter la perte et la transformation des informations importantes pour le patient/résident et l'équipe soignante.

Connaître

Connaitre le fonctionnement des transmissions ciblées.

Pouvoir

Pouvoir rédiger et/ou participer à la rédaction de transmissions ciblées.

Voici les cours

L’identification des enjeux médico-légaux des transmissions :

  • Article R. 4311. 1 du code de la santé publique relatif à l’organisation et à la réalisation des soins.
  • Article R. 4311. 2 du code de la santé publique relatif au recueil des informations utiles aux autres professionnels.
  • Article R. 4311. 3 du code de la santé publique relatif à la gestion du dossier du patient.
  • Article R. 4312. 28 du code de la santé publique relatif à la mise en place du dossier de soins.

Les fonctions des transmissions :

  • La surveillance des patients/résidents.
  • L’alerte de l’équipe soignante.
  • Le suivi de l’évolution de l’état de santé du patient/résident.

Les transmissions pour qui ?

  • L’intérêt des transmissions pour les soignants.
  • L’intérêt des transmissions pour le parient/résident.
  • L’intérêt des transmissions pour l’établissement.

Connaitre les différentes formes de transmission :

  • Les transmissions narratives : Avantages et inconvénients.
  • Les transmissions orales : Avantages et inconvénients.

Le format des transmissions ciblées :

  • La date, l’heure et le soignant : gage de la valeur d’une transmission ciblée.
  • La cible.
  • La macro-cible.
  • Les données.
  • Les actions.
  • Les résultats.

Le fonctionnement des transmissions ciblées :

  • L’ouverture d’une transmission ciblée.
  • Le suivi de la cible.
  • La clôture de la cible.
  • Les outils essentiels pour la réalisation des transmissions ciblées notamment le diagramme de soins infirmiers.

Savoir formuler une cible pertinente :

  • Définition de la notion de « cible » et de « macro-cible ».
  • Le critère de concision.
  • Le critère de précision.
  • Le critère de clarté.

Les informations qui peuvent être considérées comme des informations cibles :

  • Un symptôme.
  • Une réaction physiologique.
  • Une réaction psychologique
  • …liste non exhaustive….
  • Les cibles les plus fréquemment rencontrées en gériatrie.

Les informations qui ne sont pas des éléments cibles :

  • Des jugements de valeurs.
  • Un diagnostic.
  • …liste non exhaustive…

Connaître les différentes données à faire apparaître dans une transmission ciblée et savoir formuler des données pertinentes :

  • Les données chiffrées (température, résultats d’évaluations, pression artérielle).
  • Les données issues d’un examen clinique.
  • Les données issues d’un échange avec le patient/résident ou données dites « subjectives ».

Connaître les différents types d’actions et savoir les formuler :

  • Les actions directement menés par l’IDE auprès du patient/résident.
  • Les actions de transmission de la cible à un autre acteur de la prise en soins (rôle délégué à l’AS…).
  • Les actions à effectuer ultérieurement.

Savoir reporter les résultats des actions :

  • Les différents types de résultats.
  • L’importance d’une approche rigoureuse dans la recherche des résultats.

Exercices proposés aux participants : Durant cette formation, les exercices suivants pourront être proposés aux participants :

  • Exercice de formulation de cible en fonction d’éléments d’observation.
  • Exercice de formulation de transmissions ciblées en fonction d’étude de cas.
  • Exercice de formulation de transmissions ciblées à partir de transmissions narratives.
  • Analyse et discussion de transmissions ciblées.

Module prévention des chutes en EHPAD

OBJECTIFS DE LA FORMATION

Maitriser

Maitriser les enjeux liés aux chutes des personnes âgées sous un angle épidémiologique.

Connaître

Connaître les facteurs qui favorisent le risque de chute en institution.

Mettre en œuvre

Mettre en œuvre une démarche de prévention efficace.

Voici les cours

Définition de la notion de chute des personnes âgées :

  • Préciser les critères de définition d’une personne âgée « chuteuse » (critère HAS).
  • Les critères d’inclusion à la définition.
  • Les critères d’exclusion.
  • Les chiffres clés sur les chutes de personnes âgées :

Typologie des personnes âgées « chuteuses ». Les lieux fréquents de survenue des chutes.

Les facteurs de risques de chutes en EHPAD liés aux pathologies chroniques :

  • Les troubles de l’équilibre, de la force ou de la marche.
  • Les affections neurologiques (séquelles d’AVC, Parkinson…).
  • Les altérations cognitives et démences.
  • Les troubles sensoriels.
  • Les affections de l’appareil locomoteur (arthrose, problèmes de pieds…).
  • La dépression.
  • L’incontinence urinaire.

Les facteurs de risques de chutes en EHPAD liés aux pathologies aigues :

  • L’hypotension.
  • La déshydratation ou dénutrition.
  • Les infections urinaires.

Les facteurs de risques de chutes en EHPAD liés aux médicaments :

  • L’iatrogénie (4 médicaments ou plus).
  • La prise de psychotropes.

Les facteurs de risques de chutes en EHPAD liés au comportement du résident :

  • La présence d’antécédents de chutes.
  • Les lunettes inadaptées.
  • Les chaussures inadaptées.
  • La peur de chuter.
  • La consommation d’alcool.
  • La sédentarité.

Les conséquences traumatologiques des chutes en EHPAD :

  • Les hématomes superficiels.
  • Les hématomes profonds.
  • Les fractures les plus fréquentes.
  • Les autres catégories de blessures (plaies…).

Les conséquences métaboliques des chutes en EHPAD :

  • La déshydratation.
  • Définition et illustration de la notion de « Rahbdomyolise ».
  • Le risque d’escarres.

Les conséquences psychiques des chutes en EHPAD :

  • Perte de l’estime de soi.
  • Majoration de l’anxiété.
  • Accroissement du sentiment d’insécurité.

Le risque d’apparition d’un syndrome post chute :

  • Définitions et manifestations.
  • Prise en charge.

La démarche générale de prévention des chutes en EHPAD :

  • Etape 1 : Repérer les signes de gravité consécutifs à une chute récente (identifier les conséquences de la chute et identifier précisément la cause de la chute).
  • Etape 2 : Identifier et corriger les facteurs prédisposants.
  • Etape 3 : Prévenir la récidive.

Consolider la démarche de prévention des chutes au niveau institutionnel :

  • Créer des outils de recueils de type « fiche de chute ».
  • Intégrer les données issues des fiches chutes dans une démarche de gestion des risques.

Eléments clés de la démarche analytique à appliquer pour prévenir le risque de chute en EHPAD :

  • Identifier clairement les personnes à risques de chutes :

S’appuyer sur les facteurs de risques connus. Identifier et transmettre les informations au sujet des personnes âgées « chuteuses » ou potentiellement « chuteuses ». Toujours garder à l’esprit qu’une pathologie aigue (grippe, infection urinaire) peut être à l’origine d’une chute.

Les éléments relatifs aux éclairages :

  • L’éclairage de la chambre.
  • L’éclairage des parties collectives de l’établissement.

Les éléments relatifs aux sols :

  • Les revêtements.
  • Les risques spécifiques aux sols glissants.
  • Les dénivellations imprévues.

Les trajets à sécuriser :

  • La descente de lit.
  • Le trajet lit/WC.
  • Les espaces de déambulation.

La prévention spécifique à l’environnement de nuit :

  • L’obscurité de la chambre.
  • Les risques liés aux envies d’uriner nocturnes.
  • L’accessibilité de l’éclairage.
  • Les risques liés aux barrières/contentions.

Les actions de prévention à mettre en oeuvre :

  • Réévaluer la prescription médicamenteuse si possible.
  • Evaluer la pertinence des aides et prothèses à disposition du résident.
  • Penser aux aspects nutritionnels (notamment l’hydratation et l’alimentation suffisante des résidents déambulants).
  • Proposer des activités de lutte contre la sédentarité.

Module repérage, évaluation et prise en charge de la douleur du sujet âgé

OBJECTIFS DE LA FORMATION

Comprendre

Comprendre l'anatomie de la douleur.

Appréhender

Appréhender les principes de prise en charge de la douleur.

Mettre en mesure

Etre en mesure de prendre en charge la douleur des résidents efficacement.

Voici les cours

Qu’est-ce que la douleur ?

  • Sur le plan physiologique.
  • Sur le plan psychologique.

Les éléments observables de la douleur :

  • Les éléments moteurs observables.
  • Les éléments verbaux observables.
  • Les éléments physiologiques observables.

L’expérience subjective de la douleur : Les émotions :

  • Les émotions.
  • Les sensations.
  • Les interprétations.
  • Les mécanismes générateurs.

Les douleurs par excès de nociception :

  • Principes anatomiques des douleurs par excès de nociception.
  • Principales manifestations des douleurs par excès de nociception.

Les douleurs neurogènes :

  • Principes anatomiques des douleurs neurogènes.
  • Principales manifestations des douleurs neurogènes.

Les douleurs psychogènes :

  • Définition des douleurs psychogènes.
  • L’influence de l’état mental du résident sur le vécu douloureux.
  • L’importance de prendre en compte la dimension psychogène dans la prise en charge de la douleur.

Les principales causes de douleurs du sujet âgé :

  • Les pathologies ostéo-articulaires.
  • Les pathologies vasculaires.
  • Les douleurs postopératoires.
  • Les douleurs liées aux polypathologies.

Les douleurs consécutives au syndrome d’immobilisation :

  • Rétraction.
  • Escarres.
  • Fécalome.
  • Rétention urinaire.

Les neuropathies :

  • L’exemple des neuropathies diabétiques.

Les douleurs induites :

  • Induite par les transferts.
  • Induite par les soins de nursing.
  • Induite par un manque d’ergonomie de l’espace de vie (literie, vêtement, fauteuil…).

Les douleurs psychogènes du sujet âgé :

  • La plainte douloureuse comme acte de communication.
  • L’exemple de la dépression à masque somatique.

La prise en charge de la douleur est-elle uniquement le fait des médecins ?

  • L’importance des traitements médicamenteux.
  • Les limites des traitements médicamenteux
  • Le rôle de l’équipe soignante en EHPAD.

L’absence totale de douleur : mythe ou réalité ?

  • Les limites des traitements médicamenteux.
  • Les aspects dynamiques de la prise en charge de la douleur.

Etre soignant face à la douleur :

  • Accepter de voir la douleur au risque de souffrir.
  • Etre confronté aux limites thérapeutiques de la prise en charge de la douleur.

La mise en oeuvre d’une démarche pluridisciplinaire :

  • Le rôle de l’infirmier(e).
  • Le rôle du médecin.
  • Le rôle des aides-soignant(e)s.
  • Le rôle du kinésithérapeute.
  • Le rôle du l’ergothérapeute.
  • Le rôle du psychologue.

Les répercussions psychologiques de la douleur :

  • Anxiété.
  • Dépression.
  • Agressivité.
  • Trouble du sommeil.

Les répercussions somatiques de la douleur :

  • Troubles posturaux.
  • Perte d’appétit.
  • Immobilisation.

L’impact social de la douleur :

  • Isolement.

Présentation et consigne d’utilisation des échelles d’auto-évaluation de la douleur :

  • L’Echelle visuelle analogique (EVA).
  • L’Echelle verbale simple (EVS).
  • L’Echelle Numérique (EN).
  • Les limites des outils d’auto-évaluation de la douleur.

Présentation et consigne d’utilisation des échelles d’hétéro-évaluation :

  • Présentation des éléments relationnels essentiels à la réalisation d’une hétéro-évaluation satisfaisante.
  • Présentation et explication de l’échelle Doloplus.
  • Présentation et explication de l’échelle ECPA.
  • Présentation et explication de l’échelle Algoplus.

Principes généraux de l’analyse qualitative de la douleur :

  • Toujours penser à la présence d’une douleur.
  • Ne pas minimiser l’évocation de douleurs chez un sujet âgé.
  • Ne pas sous-estimer l’impact des soins (mobilisation, nursing, pansement, pose de sonde etc…).
  • Toujours penser à transmettre les observations réalisées auprès du résident.

Les comportements des résidents devant faire penser à la présence d’une douleur :

  • Mutisme.
  • Tristesse, pleurs.
  • Refus inhabituel.
  • Refus alimentaire.
  • Volonté d’isolement.
  • Changement de position statique (au lit ou fauteuil) ou dynamique (courbure…).
  • Agressivité.
  • Troubles du sommeil.
Principe de la prise en charge médicamenteuse de la douleur :
  • Toujours associer dans un premier temps un traitement antalgique à un traitement de la cause des douleurs (lorsque cela est possible).
La spécificité de l’administration des antalgiques chez la personne âgée :
  • Prendre en compte les spécificités métaboliques des personnes âgées lors de la prescription des antalgiques.
Les 3 paliers du traitement antalgique des douleurs par excès de nociception selon l’OMS :
  • Les antalgiques non opioïdes de palier 1 : les différents types de traitement et effets secondaires à surveiller.
  • L’association des antalgiques non opioïdes et des opioïdes faibles de palier 2 : les différents types de traitement et effets secondaires à surveiller.
  • Les opioïdes forts de palier 2 : les différents types de traitement et effets secondaires à surveiller.
La prise en charge médicamenteuse des douleurs neurogènes :
  • La complexité de la prise en charge des douleurs neurogènes.
  • Les différents traitements médicamenteux à mettre en œuvre.
  • Les effets secondaires à surveiller.
Les avantages de la prise en charge non médicamenteuse :
  • Favorise la dimension relationnelle du soin.
  • Peu de contre-indication.
  • Généralement appréciée par les résidents.
L’approche relationnelle, la relation d’aide :
  • L’empathie.
  • L’absence de jugement.
  • La neutralité bienveillante.
Les principes de base de l’approche par le toucher :
  • Le rôle fondamental du toucher pour les résidents douloureux.
  • La douceur.
  • Le respect des désirs du résident.
La thermothérapie :
  • Indication et contre-indication.
  • Modalités de mise en œuvre.
La cryothérapie :
  • Indication et contre-indication.
  • Modalités de mise en œuvre.
L’adaptation de l’environnement du résident :
  • La recherche de confort au lit.
  • La recherche de confort au fauteuil.

Module manutention des résidents, gestes et postures en EHPAD

OBJECTIFS DE LA FORMATION

Impliquer

Impliquer les participants dans une démarche de prévention.

Connaitre

Connaitre et mettre en œuvre les gestes et postures adaptés durant les soins et en dehors des soins.

Intégrer

Intégrer le respect du confort du résident dans la démarche de prévention des troubles musculo-squelettiques.

Voici les cours

Identifier les différents risques professionnels :

  • Les maladies professionnelles.
  • Les accidents du travail.
  • L’usure professionnelle.

Connaitre les enjeux du travail de prévention : les conséquences de l’usure professionnelle.

  • Pour les soignants.
  • Pour l’établissement et les résidents.
  • Pour la société.

Identifier les différentes formes de troubles musculo-squelettiques (TMS) liées au travail en EHPAD :

  • Rappel de la définition des troubles musculo-squelettiques.
  • Les TMS de la zone cervicale.
  • Les TMS des épaules, des bras, des poignets et des mains.
  • Les TMS de la colonne vertébrale.
  • Les TMS de la hanche, du genou et de la cheville.

Les éléments cardinaux de la prévention des TMS :

  • La prévention des douleurs de dos et des douleurs cervicales.
  • La prévention des douleurs des membres supérieurs.
  • La prévention des douleurs des membres inférieurs.

La spécificité de la manutention des résidents :

  • La protection des soignants.
  • La protection des résidents.
  • Le maintien d’une relation soignant/soigné satisfaisante.

Savoir effectuer les transferts :

  • Le transfert du lit à la position debout.
  • Le transfert du lit au fauteuil.
  • Le transfert du fauteuil au lit.

Adopter les bonnes postures durant les autres situations de soins :

  • Le retournement d’un résident alité dans son lit.
  • Le redressement d’un résident au fauteuil.
  • Les postures lors de l’aide à la toilette.
  • Les postures lors de l’aide à l’alimentation.

L’utilisation du lève-personne :

  • Rappel de l’importance du « faire avec » plutôt que du « faire à la place de ».
  • Le placement du lève-personne.
  • La disposition des sangles.
  • La manipulation du résident.
  • Le respect des règles de sécurité.
  • L’accompagnement du résident.

L’installation du résident dans un fauteuil roulant :

  • Savoir adopter les bons gestes.
  • Savoir installer convenablement le résident.

L’installation du résident dans un « fauteuil coquille » :

  • Savoir adopter les bons gestes.
  • Savoir installer convenablement le résident.

L’usage des autres dispositifs techniques présents en EHPAD :

  • L’utilisation du lit comme support de prévention des TMS.
  • L’utilisation du verticalisateur.
  • L’utilisation du rail de transfert.
  • L’utilisation du chariot douche.

Les gestes et postures à adopter lors de la manipulation de charges lourdes :

  • L’exemple des sacs de linge.
  • L’usage des chariots.

Les gestes et postures à adopter lors des tâches répétitives :

  • Lors des tâches d’entretien.
  • Lors des tâches répétitives (services des plateaux repas…).

Module plaies et cicatrisation

OBJECTIFS DE LA FORMATION

Développer

Développer ou actualiser ses connaissances sur les escarres et les ulcères.

Savoir

Savoir agir lors de l'apparition d'une escarre ou d'un ulcère.

Être capable

Être capable d'appliquer les protocoles adaptés en fonction du type de plaie et de l'évolution de la plaie.

Voici les cours

Le rôle du médecin :

  • L’évaluation.
  • La prescription de soins infirmiers.

Le rôle de l’infirmier :

  • Rappel des prérogatives « en rôle propre » de l’infirmière selon le décret du 29 Juillet 2004 (Article R-4311-5).
  • Rappel des prérogatives relatives aux matériels médicaux pouvant être prescrit par les infirmiers selon le décret du 20 mars 2012.

Caractéristiques générales des ulcères à prédominance veineuse ou artérielle :

  • Epidémiologie.
  • Les causes les plus fréquentes.

Les stades d’évolution d’un ulcère :

  • La phase de nécrose.
  • Le stade fibreux.
  • Le stade du bourgeonnement.
  • Le stade de l’épidémisation.

Eléments physiopathologiques des ulcères :

  • Physiopathologie des ulcères veineux.
  • Physiopathologie des ulcères artériels.
  • Les complications les plus fréquentes.

Eléments d’observation de l’état général d’un patient présentant des ulcères :

  • Température et signe généraux d’infection.
  • Surveillance nutritionnelle.
  • Surveillance de l’hydratation.
  • Surveillance des positions du patient.

Eléments d’observation de la zone lésée périphérique à l’ulcère :

  • La couleur de la zone périphérique.
  • La température de la zone périphérique.
  • L’aspect de la zone périphérique.

Eléments d’observation de l’ulcère :

  • Délimiter le siège précis de l’ulcère pout en déduire la cause.
  • Evaluer la taille de l’ulcère.
  • Observer les bords de l’ulcère.

Observer le fond de l’ulcère :

  • Caractéristique d’un fond d’ulcère sain avec potentiel de cicatrisation.
  • Caractéristique d’un fond d’ulcère non réactif à stimuler en vue d’une cicatrisation.
  • Caractéristique d’un fond d’ulcère infecté nécessitant une vigilance et un protocole précis.

Abords thérapeutiques généraux :

  • Les abords nutritionnels généraux.
  • Les éléments d’hygiène de vie à préconiser.
  • La recherche et le traitement de la cause.

Principe de nettoyage d’un ulcère :

  • Les différentes étapes de nettoyage d’un ulcère.
  • La fréquence de nettoyage d’un ulcère.
  • Les différentes catégories de produits utilisables pour le nettoyage d’un ulcère.
  • Les règles de bon usage des produits de nettoyage des ulcères.

La réalisation d’un pansement sur un ulcère :

  • Le raisonnement clinique à appliquer en fonction de l’évolution de l’ulcère.
  • Les pansements selon le type d’ulcère.
  • Les pansements selon la localisation de l’ulcère.

Les principales causes d’apparition des escarres :

  • Points d’appui et cisaillement.
  • L’hypoxie tissulaire.
  • Les chocs traumatiques comme facteur favorisant.

Localisation des escarres :

  • Statistique de la répartition des escarres.
  • Escarre de l’Ischion.
  • Escarre du Sacrum.
  • Escarre du Talon.
  • Les autres localisations potentielles des escarres.

Les différents types d’escarres :

  • Réversibilité.
  • Erythème.
  • Désépidermisation.
  • Phlyctène.
  • Fibrineuse.
  • Nécrose.

Le processus d’évolution des escarres :

  • La nécrose.
  • L’arrêt de l’écoulement du sang.
  • La détersion naturelle.
  • La granulation vasculaire.
  • La granulation tissulaire.
  • L’épithélialisation.
  • L’exemple des sacs de linge.
  • L’usage des chariots.

Les gestes et postures à adopter lors des tâches répétitives :

  • Lors des tâches d’entretien.
  • Lors des tâches répétitives (services des plateaux repas…).

Les mesures thérapeutiques en fonction du stade d’évolution :

  • Le nettoyage de la plaie.
  • Le traitement de la rougeur et de la phlyctène.
  • La détersion de l’escarre constituée.

Les pansements :

  • Les indications.
  • Les protocoles.
  • Les pansements primaires et secondaires.
  • Pansements à pression négative.

Les types de douleurs :

  • La douleur provoquée par les soins de la plaie.
  • La douleur chronique.
  • La souffrance psychologique.

La prise en charge médicamenteuse de la douleur :

  • Antalgiques à libération prolongée pour les douleurs chroniques.
  • Antalgiques d’action rapide en prévention du soin.
  • Analgésie par Méopa lors des soins.
  • Anxiolytique pour le caractère angoissant du soin.

La prise en charge non médicamenteuse de la douleur :

  • Informer les personnes de l’évolution de la plaie.
  • L’importance du relationnel.
  • La prise en charge psychologique.

Module hygiène et soins des pieds du sujet âgé

OBJECTIFS DE LA FORMATION

Maitriser

Maitriser les règles élémentaires d'hygiène du pied.

Être capable

Être capable de dépister les signes évocateurs d'affections, de pathologies nécessitant l'intervention d'un spécialiste ou d'un médecin.

Maintenir

Maintenir l'autonomie des personnes âgées en prévenant les risques d'affections.

Voici les cours

Quelques éléments d’approche du pied :

  • Éléments anatomophysiologiques.
  • Approche fonctionnelle.
  • Approche psychologique.

Le pied et la fonction locomotrice :

  • Rôle.
  • Fonctionnement.

Les pieds chez la personne âgée : les effets du vieillissement :

  • Sur la peau et les phanères.
  • Sur la sensibilité des pieds.
  • Vieillissement fonctionnel du pied.

Les pathologies fréquentes du pied chez la personne âgée :

  • Le diabète.
  • Les problèmes vasculaires.
  • L’inflammation ou rhumatologie du pied.
  • Les troubles cutanés et des ongles.
  • Les troubles morphologiques.

Les conséquences possibles des pathologies du pied :

  • La douleur.
  • Les risques d’affections.
  • Les troubles de la marche et le risque de chute.
  • Les troubles posturaux et de l’équilibre.
  • La perte d’autonomie.

Les règles d’hygiène lors du lavage des pieds :

  • Protocole.
  • L’importance du séchage.
  • Les pédiluves.
  • Mise en situation pratique.

La coupe des ongles :

  • Ce que l’on peut faire.
  • Ce qu’il faut éviter de faire.

Les autres règles d’hygiène et de soins des pieds :

  • Les crèmes pour les pieds.
  • Prise en charge des escarres.
  • Recommandations HAS.

L’importance du chaussage :

  • Les conséquences d’un mauvais chaussage.
  • Conseils sur le chaussage idéal au niveau des chaussons et des chaussures.

Les recommandations pour le maintien d’un pied en bonne santé :

  • Surveillance au quotidien de la peau et des phanères.
  • Surveillance du chaussage.
  • Recherche de facteur de risque.
  • Prévention des escarres.
  • L’évaluation de la douleur en cas de nécessité.

Rôle des différents soignants dans la prise en soins des pieds :

  • Rôle de l’aide-soignant(e).
  • Rôle de l’infirmier(e).
  • Rôle du médecin.
  • Rôle du pédicure-podologue.

Dans quelles situations faut-il orienter les personnes vers des spécialistes ?

  • Faire appel au médecin traitant.
  • Faire appel au pédicure-podologue.
  • Faire appel à l’orthopédiste-orthésiste.

Module gestion des troubles de la déglutition et du risque de fausse route chez la personne âgée.

OBJECTIFS DE LA FORMATION

Connaître

Connaître la physiologie de la déglutition.

Identifier

Identifier les différents types de troubles de la déglutition et les différentes formes de fausse route.


Savoir prévenir et réagir

Savoir prévenir les risques de fausse route en recherchant les meilleures conditions de repas.

Voici les cours

L’anatomie de la déglutition :

  • L’appareil digestif et le rôle de la déglutition.
  • Le mécanisme de la déglutition : la voie aérienne, la voie digestive.

Les différentes formes de déglutition :

  • La déglutition salivaire.
  • La déglutition alimentaire.

Les conséquences du vieillissement sur la déglutition :

  • L’altération du goût.
  • Les difficultés de la mastication par l’édentation.
  • Perte de sensibilité lingual.
  • Trouble du tonus linguale.
  • Trouble de l’insalivation.
  • Le ralentissement pharyngé et œsophagien.

Les éléments explicatifs du trouble de la déglutition :

  • Explication des troubles de la déglutition.
  • Les dyspraxies linguales.
  • Les traitements médicamenteux.
  • Cause locale orale ou pharyngée.
  • Les causes métaboliques.
  • Les maladies neurologiques.
  • Séquelles d’accidents vasculaires cérébraux.
  • Autres causes possibles.

Les répercussions des troubles de la déglutition au niveau physiologique :

  • Les troubles de la nutrition et de l’hydratation.
  • Les infections respiratoires.
  • Les dysphagies brutales (fausse route).

Les répercussions des troubles de la déglutition au niveau psychologique :

  • Perte du plaisir de manger et de boire.
  • Isolement social.
  • Anxiété à l’approche des repas.
  • Gêne sociale.

L’identification des signes de troubles de la déglutition :

  • La difficulté à avaler.
  • La toux et le raclement de la gorge.
  • La lenteur lors de la prise des repas.
  • Le refus de s’alimenter.
  • Les aliments se cumulent dans un coin de la bouche.

Les différentes formes de fausses routes :

  • La dysphagie directe.
  • La dysphagie indirecte.
  • La dysphagie par régurgitation.
  • La dysphagie par regorgement.

Les principaux éléments clés pour limiter le risque de dysphagie :

  • La texture des aliments.
  • L’eau gazeuse ou épaissie.
  • La surveillance et l’adaptation de la température des aliments.
  • L’utilisation d’ustensiles adaptés.
  • L’hygiène bucco-dentaire.
  • Les régimes alimentaires.
  • La rééducation.

Les éléments clés de la prise en charge du risque de dysphagie lors des repas et de l’aide à l’alimentation :

  • La bonne installation.
  • Le respect du rythme de la personne.
  • Les techniques d’aide aux repas.
  • La vigilance et la surveillance lors de la prise des repas.
  • L’attitude relationnelle.

Les conditions de la mise en place d’une nutrition artificielle :

  • L’incapacité à déglutir.
  • La dénutrition.
  • Une situation hypercatabolique.
  • Les troubles de la déglutition d’origine neurologique.

Les enjeux éthiques de l’alimentation artificielle et de l’arrêt de l’alimentation :

  • Une réflexion pluridisciplinaire nécessaire.
  • Le respect des choix de la personne.
  • Les situations de fin de vie.
  • Les situations où les personnes ne peuvent donner leur consentement éclairé notamment dans la démence.
  • Les recommandations de l’ESPEN.

1ère situation : La personne âgée ne peut ni parler, ni crier, ni respirer ou alors très bruyamment :

  • Les premières conduites à tenir.
  • La méthode d’Heimlich.
  • Les gestes de secourisme.

2ème situation : La personne âgée peut encore ventiler, l’obstruction est partielle :

  • La bonne installation de la personne.
  • Rassurer.
  • Surveiller.

Module prise en soin d'une personne âgée diabétique

OBJECTIFS DE LA FORMATION

Connaître

Connaître le fonctionnement du diabète et la particularité chez la personne âgée fragile.

Mettre en place

Mettre en place des mesures préventives concernant les complications possibles du diabète.

Adapter

Adapter l'alimentation des personnes concernées tout en maintenant le plaisir.

Voici les cours

Quelques généralités :

  • Définition.
  • Épidémiologie.

Examen et diagnostic :

  • Glycémie à jeun.
  • Hba1C
  • Physiopathologie du diabète.

Présentation du Diabète de type 1 :

  • Définition.
  • Causes.
  • Symptômes.

Traitements du Diabète de type 1 :

  • Sous forme d’injection.
  • Avec pompe à insuline.

Présentation du Diabète de type 2 :

  • Définition.
  • Causes.
  • Symptômes.

Traitements du Diabète de type 2 :

  • Les traitements médicamenteux.
  • Les injections d’insuline.

Les conséquences d’un diabète :

  • L’importance de la surveillance de la glycémie.
  • L’équilibre alimentaire.
  • Le prolongement de l’hyperglycémie.
  • L’acétone et ses risques.

Les complications tardives, mais graves en cas de diabète mal régulé :

  • Cécité.
  • Amputation.
  • Les AVC.
  • L’insuffisance rénale.
  • Le coma hyperglycémique.

L’hyperosmoralité :

  • Une complication grave.
  • Une urgence médicale nécessitant une hospitalisation.
  • Les symptômes.
  • Les personnes à risque (personnes démentes, polypathologies…).
  • Traitement et surveillance.

La fragilité des personnes âgées diabétiques :

  • L’augmentation des limitations fonctionnelles.
  • L’altération de la qualité de vie et le risque de dépression.
  • L’augmentation des risques physiques et biologiques.

Les principaux risques physiologiques :

  • Confusion mentale.
  • Risque de chutes.
  • Incontinence.
  • Escarres.
  • L’hypertension artérielle.
  • Douleur névralgique : La neuropathie diabétique.

L’importance de l’évaluation gérontologique des personnes âgées diabétiques : les principaux examens :

  • L’examen clinique.
  • La surveillance des pieds.
  • L’évaluation de la douleur.
  • L’évaluation du risque d’escarre.
  • L’évaluation et la surveillance des médicaments et de leurs conséquences sur le diabète.
  • L’évaluation fréquente de la fonction rénale.

La mise en place d’objectifs glycémiques :

  • Chez un sujet âgé en bonne santé.
  • Chez un sujet âgé « fragile »
  • L’adaptation individualisée.

La surveillance de la glycémie :

  • Le dextro (ou hémoglucotest).
  • Les nouveaux lecteurs de glycémie sans dextro.

L’éducation thérapeutique :

  • Objectifs.
  • Les grands principes.

Définition et explication :

  • Hypoglycémie modérée.
  • Hypoglycémie sévère.

Conséquences et risques :

  • Les malaises.
  • Les chutes.
  • Le coma.

Les symptômes de l’hypoglycémie chez la personne âgée :

  • Signes neurologiques.
  • Désorientation.
  • Changement de comportement.
  • L’hypoglycémie asymptomatique.

La gestion de l’hypoglycémie :

  • Le resucrage.
  • Les aliments et boissons à favoriser.
  • L’hormone hyperglycémiante.

Une alimentation équilibrée :

  • La régularité des repas.
  • L’équilibre glycémique.
  • Les glucides simples lors des repas.
  • Maintenir le plaisir de l’alimentation.
  • La vigilance face à la dénutrition.
  • L’importance de l’hydratation.

Le maintien d’une activité physique :

  • L’évaluation des capacités motrices et physiques.
  • L’entrainement en résistance.
  • L’activité physique douce en endurance.

Module prise en charge des résidents angoissés la nuit

OBJECTIFS DE LA FORMATION

Rappeler

Rappeler les bases physiologiques et biologiques du sommeil et ses spécificités chez les personnes âgées.

Améliorer

Améliorer la prise en soin des résidents la nuit et être en mesure de rassurer une personne âgée angoissée.

Favoriser

Favoriser la continuité des soins entre le travail de jour et de nuit.

Voici les cours

Rôle et fonction du sommeil :

  • Rôle physiologique et biologique.
  • Rôle psychologique du sommeil.

Le sommeil chez la personne âgée :

  • Les caractéristiques du sommeil chez la personne âgée.
  • Les principaux troubles du sommeil.
  • Les conséquences de l’incontinence.
  • La spécificité des résidents désorientés.

Les éléments favorisant un sommeil de qualité chez la personne âgée :

  • L’approche systémique de la nuit en établissement.
  • Le confort physique et moral de la personne âgée.
  • L’adaptation de l’environnement.
  • L’approche relationnelle soignante à favoriser.

Identifier les origines de l’angoisse nocturne chez la personne âgée :

  • Les personnalités anxieuses.
  • L’insomnie.
  • La peur de mourir.
  • Le discours d’inquiétude de la personne âgée : anticipation inquiètes et difficile à contrôler.
  • Les plaintes et symptômes somatiques (douleur, aggravation symptômes habituels, généralement dans les jambes…).

L’évaluation de l’anxiété :

  • L’observation et la vigilance lors du coucher et lors de la nuit.
  • Le repérage des signes de l’angoisse.
  • Les échelles d’évaluation de l’anxiété : l’échelle d’Hamilton.

L’approche relationnelle de la gestion des angoisses nocturnes :

  • La bienveillance et l’empathie.
  • L’écoute active.
  • L’importance du toucher relationnel.
  • Savoir répondre à la peur de mourir.
  • La gestion des situations de « crise ».

Préparer la nuit lors du coucher :

  • L’importance d’un coucher « sécurisé ».
  • La mise en place de pratiques rituelles lors du coucher.
  • L’importance du confort de la personne.

Les attitudes nocturnes à favoriser :

  • L’importance des collations nocturnes en cas de réveil.
  • La gestion de l’incontinence et les attitudes et comportements à favoriser.
  • La gestion de sa propre angoisse en tant que soignant.

Favoriser la continuité des soins :

  • Travailler en équipe pluridisciplinaire.
  • L’importance des transmissions ciblées orales et écrites.
  • Coordonner de manière pertinente les soins jour/nuit.
  • Élaborer une procédure de prise en charge de l’angoisse nocturne.